samedi 30 janvier 2016

Évaluation: un défi pour les courtiers immobiliers avec les nouveaux rôle .Les courtiers immobiliers doivent composer avec les effets du nouveau rôle d'évaluation et doivent convaincre les vendeurs

Évaluation: un défi pour les courtiers immobiliers





Les courtiers immobiliers doivent composer avec les effets... (Archives, La Tribune)Les courtiers immobiliers doivent composer avec les effets du nouveau rôle d'évaluation et doivent convaincre les vendeurs de demeurer réalistes dans le prix qu'ils exigent. C'est ce que fait valoir le courtier immobilier Lucien Choquette, ancien président de la Chambre immobilière de l'Estrie.
« Ce que le nouveau rôle change, c'est qu'il faut ajouter beaucoup d'explications, autant pour les acheteurs que pour les vendeurs. Il faut comprendre comment le rôle d'évaluation est construit et se rappeler que ce ne sont pas toutes les propriétés qui sont visitées pour une évaluation. Donc, on ne doit pas nécessairement se fier sur l'évaluation municipale pour fixer le prix d'une maison », explique M. Choquette.
Le principe de l'offre et de la demande, de même que la confiance que l'acheteur porte au vendeur, demeurent les principaux critères pour fixer la valeur marchande d'une maison. « Il n'y a pas d'impact réel sur les acheteurs, parce que plusieurs d'entre eux n'ont pas accès à l'information de l'évaluation d'il y a trois ans. Il n'y a donc pas une influence majeure pour décider si on achète ou pas. En visitant plusieurs maisons, on peut voir ce que ça vaut vraiment. Dans certains cas, l'évaluation a augmenté beaucoup mais la maison a manqué d'entretien. »
Il faut surtout convaincre le vendeur que sa maison ne vaut pas beaucoup plus cher sur le marché même si l'évaluation municipale a bondi. « La plus grande difficulté dans notre métier, c'est d'amener le vendeur au prix du marché. C'est comme ça tous les trois ans. »

Dans les trois dernières années, le prix de vente des maisons n'a pas augmenté beaucoup alors que l'évaluation a grimpé.

Elle se rapproche donc plus réalistement du prix réel de vente. « Mais probablement que nous aurons plus de maisons qui se vendront sous le prix de l'évaluation que par le passé. Le rôle du courtier est de s'assurer que le client ne payera pas trop cher, sinon il ne réussira pas à revendre pour le prix qu'il a payé. »
Rappelons qu'au rôle d'évaluation 2016-2018, la valeur des propriétés unifamiliales a grimpé en moyenne de 5,9 % à Sherbrooke alors que la valeur des terrains vacants a flambé de 41,7 %.

Merci Source :

<p>Jonathan Custeau</p>
Jonathan Custeau
La Tribune
 
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lundi 18 janvier 2016

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Dix erreurs commises par les acheteurs d’une première maison

Si vous êtes à la recherche de votre première maison et que vous désirez vivre une expérience positive et sans incident, tâchez d’éviter ces erreurs courantes commises par les acheteurs d’une première maison.

1. Se passer d’un agent immobilier Francois Therrien et Claudia Prévost
Vous pouvez sans doute trouver une maison par vous-même, mais de nombreux aspects de l’achat d’une première habitation peuvent être déroutants. Laissez votre agent s’occuper de la négociation des offres, des inspections, du financement et des autres détails. L’argent que vous pensez économiser sur la commission de l’agent immobilier pourrait être rapidement englouti par une offre bâclée ou des réparations négligées.
2. Jeter son dévolu sur une maison avant d’avoir effectué toutes les recherches nécessaires
Vous avez le coup de foudre pour une maison? Ne vous fiez pas toujours aux apparences; gardez l’esprit ouvert. Vous pourriez dépasser trop rapidement votre budget ou négliger un écueil potentiel si vous vous engagez trop vite.
3. Choisir une maison à rénover parce qu’elle affiche prix plus bas
Ce modèle classique a peut-être un énorme potentiel, mais soyez extrêmement vigilant pendant l’inspection. Quel sera le coût des travaux pour que la maison soit habitable? En négociant une plus longue période de diligence raisonnable, vous aurez le temps d’obtenir plusieurs devis des travaux auprès d’entrepreneurs, ce qui vous permettra de faire marche arrière si nécessaire.
4. Offrir un prix plus élevé que le budget disponible
Ne sacrifiez pas votre épargne-retraite ou votre fonds d’urgence pour des paiements hypothécaires. Il est important que vous conserviez une certaine marge de manœuvre pour faire face aux changements que vous réserve la vie; en prenant des risques, vous mettez en danger vos investissements, y compris votre habitation.
5. Choisir le premier agent immobilier venu
Il vaut mieux ne pas attendre d’être en plein milieu de votre recherche pour vous apercevoir que votre agent immobilier ne fait pas l’affaire. Demandez des recommandations à vos amis,  c’est la meilleure source. Parlez-en autour de vous et prenez le temps de discuter avec les candidats potentiels avant de vous engager.
6. Entamer des rénovations tout de suite après l’achat
Les rénovations augmentent la valeur d’une maison, mais il ne sert à rien de se précipiter. Vous endetter jusqu’au cou pour réaliser les travaux le plus rapidement possible n’est pas forcément une option payante. Prenez le temps de préparer un plan solide et de prendre les meilleures décisions financières. Habitez quelque temps dans la maison pour avoir une meilleure idée des changements que vous aimeriez faire.
7. Choisir une maison sans faire de recherches préalables sur le quartier
C’est peut-être la maison de vos rêves, mais gare aux déconvenues si vous vous retrouvez à côté de voisins bruyants ou d’une zone industrielle. Prenez le temps de parcourir le quartier avant de faire une offre : parlez aux propriétaires de commerces et aux résidents pour déterminer les avantages et les inconvénients de la vie dans le quartier.
Ten first-time homebuyer mistakes
8. Choisir soigneusement l’agent et le courtier immobilier, mais pas l’avocat
Les nouveaux acheteurs consacrent toute leur énergie à chercher des taux hypothécaires intéressants et à préparer leur offre, mais il ne faut pas oublier que dans toute transaction immobilière, le dernier mot revient à votre avocat. Comme vous l’avez fait pour trouver un agent ou un courtier immobilier, adressez-vous à vos amis et vos collègues de travail pour trouver un avocat.
9. Faire une fixation sur le taux d’intérêt le plus bas
Bien sûr, un taux d’intérêt raisonnable est important, mais pas au prix de restrictions sévères et de lourdes pénalités. Élaborez un plan à long terme solide pour le remboursement de votre prêt hypothécaire et choisissez-en un qui soit suffisamment flexible pour faire face aux changements que vous réserve la vie, qu’ils soient prévus ou imprévus.
10. Ne pas souscrire l’assurance prêt hypothécaire
Votre maison étant votre principal investissement, il est important de le protéger. L’assurance prêt hypothécaire n’est pas seulement un moyen d’acheter la tranquillité d’esprit, elle vous offre aussi des options de financement plus souples. En outre, elle vous permet d’utiliser la valeur nette disponible de votre maison pour rembourser vos dettes ou effectuer des placements financiers. Pour choisir les produits Genworth qui vous conviennent, cliquez ici.


Merci a http://homeownership.ca  pour ce blogue

Francois Therrien
www.francoistherrien.com

samedi 9 janvier 2016

Connaissez-vous bien la Loi sur le courtage immobilier?

Protégez-Vous.ca

Lorsque vous achetez ou vendez avec un courtier, vous bénéficiez de toute la protection offerte par la Loi sur le courtage immobilier.



L’encadrement, pour votre protection

Le ministère des Finances a confié à l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ) le mandat d’administrer la Loi sur le courtage immobilier et ses règlements, afin de protéger le public et d’encadrer les courtiers immobiliers et les courtiers hypothécaires.

L’Organisme joue ce rôle de plusieurs façons. Ainsi, avant même de pouvoir exercer, les aspirants courtiers doivent suivre une formation de base et réussir un examen d’entrée. Ils reçoivent ensuite leur permis. Ils doivent alors se soumettre à une foule de règles touchant tous les aspects de leur pratique, dont :

• respecter des règles déontologiques (par exemple préserver la confidentialité de vos renseignements personnels, vous informer sur l’ensemble des faits pertinents à la transaction, veiller à ce que vos droits et obligations soient consignés par écrit et reflètent adéquatement votre volonté, entreprendre des démarches conformes aux règles de l’art et aux usages pour découvrir les facteurs pouvant affecter défavorablement les parties à la transaction ou l’objet même de cette transaction);

• assurer la tenue des dossiers et registres (pour garder des traces et permettre un suivi); et suivre un programme de formation continue (afin de demeurer à la fine pointe).

Des règlements à votre service

Les règlements vont très loin pour s’assurer de protéger vos intérêts. Par exemple, le courtier du vendeur doit remplir avec son client le formulaire édité par l’OACIQ appelé Déclarations du vendeur sur l’immeuble, dans lequel ce dernier doit mentionner tout ce dont il a connaissance sur sa propriété et qui est susceptible d’influencer la transaction.

Par ailleurs, des inspecteurs de l’OACIQ se rendent constamment sur le terrain afin de s’assurer que les courtiers respectent la réglementation lors des transactions et du suivi des dossiers.

En somme, toutes les mesures contenues dans la Loi et ses règlements visent à vous garantir de faire affaire avec un professionnel compétent, intègre et soucieux de protéger vos intérêts lors d’une transaction immobilière ou hypothécaire.

Nous vous invitons à prendre connaissance du rôle de l’OACIQ et des protections dont vous bénéficiez en faisant affaire avec un courtier immobilier ou hypothécaire. Aussi, apprenez-en un peu plus sur l’historique de la Loi sur le courtage immobilier et de l’OACIQ.

L’achat et la vente d’une propriété comptent parmi les décisions les plus importantes d’une vie. La Loi sur le courtage immobilier vous protège lorsque vous faites ces transactions en utilisant les services d’un courtier immobilier ou hypothécaire. En voici les grandes lignes!

Source Protégez-Vous.ca 

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